Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Bruno Blier a choisi de ne pas entraîner Arras pays d'Artois en NF3. "Comme le club avait la possibilité de repartir en NF1, c'est la pire des solutions. Je venais pour relancer le club ! En NF1, il y avait quelque chose de sympa à faire : avec mon réseau, j'aurais récupéré des joueuses intéressées par le projet", affirme-t-il ajoutant "des choses me déplaisent dans cette histoire. Je ne comprends pas que la décision ait été prise par des hommes politiques, qui ne connaissent rien au sport de haut niveau en général, et au basket en particulier.  C'est inadmissible ! Ils devraient avoir l'intelligence de connaître leurs limites ! ".

Le technicien, qui, sollicité par le président Bernard Pot, avait quitté Saint-Nicolas pour revenir à Arras, est amer : «J'aurais compris que la Ville décide de ne pas aider le club car elle a sans doute d'autres priorités que le basket mais je n'admets pas qu'elle conditionne une avance remboursable – 180 000 € à rembourser en trois ans, c'était un bon deal - à une relégation. Tout ça me dépasse ! La club aurait dû refuser ce marché : Arras aurait déposé le bilan, serait reparti en Prénational, c'est à dire une seule division en dessous de la NF3, et sans aucune dette ».

Bruno Blier n'en veut ni au maire, ni au bureau d'Arras Pays d'Artois, "qui a beaucoup travaillé ». Par contre, sa colère semble grande à l'égard « des gens qui sont intervenus lors du Conseil Municipal ». Il sera donc, en 2018/19, simple spectateur des matchs d'une équipe aux contours pour l'instant très flous.

 

 

 

 

 
 
Tag(s) : #Basket, #Arras Pays d'Artois
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :