Les championnats du monde de canoë-kayak ont lieu du mercredi 21 au dimanche 25 août, à Szeged, en Hongrie. Six membres de l’ASL y participent avec un double objectif : décrocher une médaille et, pour le plupart d’entre eux, tenter d’obtenir un quota pour les JO de Tokyo en 2020.
Thomas Simart, aligné en C1 500 m, dispute une épreuve qui n’est pas olympique. Il n’a toutefois pas renoncé à voir Tokyo l’année prochaine : « j’ai préféré m’aligner sur le 500 m plutôt que le 200 m, parce qu’en terme d’approche, ce n’est pas si loin du 1000 m ».
Loïc Léonard et Adrien Bart, en C2 1000 m, visent le podium et le quota olympique. Cette paire a obtenu une médaille de bronze en Coupe du monde à Duisbourg. « Il faudra que nous restions très concentrés, capables d’apporter les bonnes réponses aux problématiques qui se poseront », explique Adrien Bart, qui s’aligne aussi en C1 1000m, où la concurrence sera rude.
En kayak, Pierrick Bayle, auteur d’une très belle saison en équipage, intègre le collectif Kayak Homme 500 m. Il sera aligné en K2, non olympique, et sera en réserve en K4.
Anaïs Cattelet a composté son billet pour Szeged au terme d’un ultime test, un duel contre Laura Ruiz, qu’elle a gagné. Toutefois, sur le C1 200 m, « ce sera vraiment compliqué d’aller chercher le quota… Je veux me faire plaisir, donner le maximum de moi-même et ne rien regretter».
Flore Caupain, sur le C2 500 m, associée à Eugénie Dorange, a une bonne chance d’obtenir le quota.